MASSIMO GUERRERA | INTROSPECTIONS PHOTOSENSIBLES

MASSIMO GUERRERA | INTROSPECTIONS PHOTOSENSIBLES

Salle 1

Massimo Guerrera

INTROSPECTIONS PHOTOSENSIBLES

EXPOSITION /
1 SEPTEMBRE AU 8 OCTOBRE, 2011

Le Mois de la Photo à Montréal et le Centre CLARK présentent l’exposition Introspections photosensibles de Massimo Guerrera.

C’est sous le thème Lucidité. Vues de l’intérieur, proposé par la commissaire invitée Anne-Marie Ninacs, que se tiendra la 12e édition du Mois de la Photo à Montréal, du 8 septembre au 9 octobre prochain. Pour l’occasion, 25 expositions solos d’artistes d’ici et d’ailleurs seront disséminées à travers la ville et transformeront la métropole en une vaste exposition de photographie.

Depuis vingt ans, d’abord avec son Usine métabolique (1993-1994) et sa compagnie Polyco (1995-1999), puis avec ses projets domestiques Porus (1998-) et Darboral (2000-), et récemment avec La réunion des pratiques (2007-), Massimo Guerrera élabore des plateformes de collaboration auxquelles il convie des gens de son entourage et des inconnus. Ces plateformes génèrent des productions artistiques, mais elles sont également l’occasion pour l’artiste et les participants de côtoyer des limites personnelles, de modifier des relations et d’accroître la conscience des empreintes mutuellement acquises. La photographie est devenue très tôt un témoin privilégié de ces introspections en action; l’exposition Introspections photosensibles rassemble pour la première fois ses empreintes lumineuses et les présente comme des véhicules susceptibles de rendre les expériences intimes reproductibles.

Massimo Guerrera est né en 1967 à Rome. Il vit et travaille à Montréal.

Massimo Guerrera élabore des plateformes de collaboration qui génèrent des sculptures, dessins, actions, photographies, textes, musiques et relations humaines. Ses œuvres ont fait l’objet d’expositions individuelles à travers le Canada et ont été incluses dans d’importantes expositions collectives, notamment la Biennale de Montréal (2000), Hors d’œuvre (CAPC-Musée d’art contemporain de Bordeaux, 2004),Flagrant délit (Musée des beaux-arts du Canada, 2008) et la Biennale de Liverpool (2010). Lauréat des prix Ozias-Leduc (2001) et Louis-Comtois (2008), Guerrera est représenté par la Galerie Joyce Yahouda à Montréal et par la Galerie Clint Roenisch à Toronto.

Massimo Guerrera, Moment de suspension (Porus), 2001, épreuve à développement chromogène. Avec l’aimable autorisation de l’artiste, de la Galerie Joyce Yahouda, Montréal, et de la Galerie Clint Roenisch, Toronto. © Massimo Guerrera